korovA

La rage

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Mes yeux comme le prolongement de mon cerveau. Mes dents sont la partie visible de mon squelette. Je ne vois plus rien, j’enrage dedans. Je vole beaucoup plus haut par un bizarre hasard. Puisqu’il faut paraître, autant être en beauté, même si un jour disparaître il faudra, il paraît. (pour « La rage » / korovA /2003)